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"Urbanvision" à la Galerie du Sofitel de Phnom Penh

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L'artiste cambodgien Thun Dina expose à Singapour

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La Galerie d'ART du SOFITEL un artiste étonnant et ... Français !

Par Lepetitjournal Cambodge | Publié le 04/09/2020 à 05:12 | Mis à jour le 04/09/2020 à 06:03
 
Donvirao
 

DONVIRAO est le nom d'artiste de Douglas Victor Nathaporn Rahotan, né en France, en 1998 à une époque où son grand-père, Francais, était déjà installé au Cambodge.

Le jeune Douglas s'intéresse très tôt aux multiples formes d'expression artistique dont le dessin mais il est animé par une grande curiosité et son énergie le pousse vers l'expérimentation et l'innovation. Aussi vers l'aventure...

Son parcours

Abandonnant ses études et sa vie en la France, dès 2014 à 16 ans, il part comme un enfant perdu au Cambodge rechercher une partie de sa famille dans la province de Kampong Som. Il vit là quelques années au contact des tragédies récentes du ...

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Patrick Kersalé the researcher

Patrick Kersalé is both an ethno-archaeo-musicologist and a musician. He has spent the past thirty years traveling around the world (primarily in West Africa, Southeast Asia, India, Nepal and Europe) to seek traditional music at risk of disappearing in order to preserve the memory and to develop programs for cultural conservation.

He has carried out many missions in Cambodia in order to collect audiovisual footage at archaeological sites, and by the music of the aboriginal peoples of Ratanakiri and Mundolkiri. Since 2009 he studies the musical instruments from the Angkorian era, through iconography, inscriptions and archaeological objects. 

He is the author of numerous CDs, mostly on the music of ethnic minorities, several books with CD on oral traditions, documentaries, educational DVDs, and articles.

Patrick Kersalé the rebuilder

French ethno-archaeo-musicologist Patrick Kersalé has spent thirty years in Asia, searching for historic instruments and studying surviving traditional music, but it was not enough for him. Based on his research, he rebuilt extinct Angkorian instruments from the seventh to the sixteenth centuries! Several kinds of harps, monochord zithers, cymbals, drums, trumpets, and conches have thus literally been brought back to life!

Patrick Kersalé the pedagogue

To bring the ancient Khmer's musical instruments back to life, Patrick Kersalé created the Sounds of Angkor project including:

Patrick Kersalé the musician

Patrick Kersalé is also a musician and a solo harpist. If classic composers take time for reflection and inspiration to design a musical work, Patrick Kersalé draws inspiration from the world around him: place, objects, sounds, light ... but also and especially people with their personality, thoughts, emotions and, most importantly, the quality of their listening. He invites the public to generate positive ideas, thoughts of love which will feed his music and in return, feed thoughts and emotions.

Patrick Kersalé also plays harp with Pheak Sok, a female dancer who performs contemporary dance based of the gestural vocabulary of classical Khmer dance. Four mythological characters are staged: the Garuda, king of birds and guardian of Knowledge, the N?ga, serpent guardian of the Earth and Water, Neay Rong, a man, and an Apsara. A water point is at the center of the hype, each character trying to grab it. The Garuda and the N?ga try to destroy it to prevent the Apsara they hate to access. But Neay Rong loves the beautiful Apsara, standing between the two protagonists.

Patrick kersale musique


 

2020

Le musée de la monnaie a ouvert ses portes à Phnom Penh en avril dernier. Le lieu permet aux visiteurs de découvrir l’histoire monétaire du royaume et de mieux comprendre la situation économique actuelle du Cambodge.

Près de la colline du Wat Phnom sur la rue 106, un ancien bâtiment colonial de la municipalité de Phnom Penh abrite un nouveau musée. Le musée Sosoro de la monnaie et de l’économie a ouvert ses portes au public il y a quelques mois, en avril dernier. Après que le premier ministre Hun Sen a exprimé sa volonté de voir davantage de musées créés dans le pays, la banque nationale du Cambodge a pris la décision en 2013 de fonder ce musée.

Dans la première salle, les visiteurs peuvent admirer la plus ancienne pièce de monnaie cambodgienne. Cette pièce-médaillon, découverte lors des travaux de la route d’Angkor Borey, fut retrouvée par un chercheur français dans le marché de Tuol Tom Pong. La Banque nationale s’est empressée de racheter la relique monétaire, datant de l’époque du royaume du Chenla, au 7e siècle. L’histoire de cette pièce-médaillon permet de mieux comprendre les échanges commerciaux de l’époque, particulièrement ouverts sur le reste du monde. Cet objet est l’une des diverses archives sur laquelle le musée s’appuie pour illustrer le fonctionnement monétaire et économique des périodes historiques qui se sont succédées depuis l’ère de Funan. « Ce musée est aussi un prétexte pour aborder l’histoire du Cambodge sous un autre angle » , indique Hervé Janody, qui travaille pour le musée Sosoro.  

Parmi les sujets traités, le Sosoro Museum dévoile le fonctionnement du système de troc pendant la période angkorienne, explique quels ont été les effets du protectorat français sur l’économie cambodgienne, revenant sur la crise de la piastre indochinoise… Le visiteur découvrira que le riel est une monnaie récente qui fut créée lorsque l’indépendance fut déclarée au Cambodge puis abandonné le temps de la période des Khmers rouges, qui reniaient la monnaie mais avaient pourtant préparé des billets qui n’ont jamais été mis en circulation.

Soroso premier etageAu premier étage du musée Sosoro

« L’histoire de la monnaie est très mouvementée au Cambodge » , commente Hervé Janody, tout en nous guidant vers le second niveau, qui traite principalement de l’économie cambodgienne actuelle. « Cet étage sert à montrer comment l'économie tourne, qui sont les agents économiques, quels sont les atouts et les défis actuels économiques au Cambodge », résume-t-il. Parmi les thèmes abordés, la place du dollar américain, du riel, mais aussi des secteurs de l’agriculture, du tourisme, du bâtiment et du textile dans l’économie cambodgienne.

Les vidéos du Sosoro Museum plongent les visiteurs dans l’ambiance de l’époque. « Nous avons reconstitué une scène de marché angkorien afin de rendre compte du fonctionnement des échanges sans monnaie » , souligne Hervé Janody.  La muséographie est dynamique et moderne, afin d’attirer les jeunes Cambodgiens. Les vidéos, animations et nombreux jeux interactifs vulgarisent le fonctionnement monétaire et leur permet de mieux comprendre les problématiques économiques du Cambodge.

Le prix d’entrée s’élève à 2000 riels pour les étudiants cambodgiens, 1 dollar pour les Cambodgiens et 5 dollars pour les étrangers. Le musée est ouvert de 9h à 17h, tous les jours sauf les lundis.
photo cv annecy

Marion Joubert
Journaliste Lepetitjournal.com Cambodge


 

2014

SOVRIN articles :
SOVRIN Magazine February edition - English : please follow this link.
SOVRIN Magazine February edition - Khmer : please follow this link.
CHRISTIE'S and Galerie des Arts Press Conference: 18-Dec-2013.
To read the full text of the Press Conference, please follow this link.
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From Phnom Penh Post article

Auction house giant Christie’s will next year participate in a charity auction in Phnom Penh for the second time, it was announced yesterday. Auctioneer Lionel Gosset from the house will sell paintings, sculptures, fashion and jewelry by more than 30 local artists and designers.

The event, which will take place in March at the Sofitel Hotel, will be organised by the arts agency ReCreation. Following Christie’s Charity Auction 2012, which raised more than $40,000, this year’s proceeds will go to arts-based charities Cambodia 2000 and Amrita Performing Arts. Madeleine de Langalerie, founder and CEO of ReCreation, said the initial idea came from a desire to promote Cambodian artists as well as to contribute to the emerging arts sector in the Kingdom. She said: “The auction in 2012 was a huge success.”

To read the full Phnom Penh Post article, follow this link.


 

From DAP-News article

To read the article in khmer :  follow this link /?????????


 

From lepetitjournal.com

About Séra who participate in the auction sale
A la rencontre de Séra, artiste franco-cambodgien reconnu dont la « patte » s’exprime par différentes formes artistiques qui révèlent la palette des sentiments. De la Bande Dessinée à la sculpture, Séra nous ouvre les portes de son univers, un itinéraire qui transcende les frontières, tant physiques qu’artistiques, une quête de sens et d’identité. C’est un projet d’envergure qui ramène une nouvelle fois l’artiste dans le pays qui l’a vu naître, un Mémorial qui commémore la chute de Phnom Penh aux mains des Khmers Rouges le 17 avril 1975. «A ceux qui ne sont plus là », un hommage dont l’écho raisonne dans la mémoire collective du pays et de l’individu, une représentation de ceux qui ont disparu mais qui ne peuvent être oubliés.

To read the full article, follow this link.