Born in 1980, French artist Théo VALLIER has lived and worked in Phnom Penh since 2007 where he explores the theme of streets and their movement. He has exhibited in France (Paris and Marseille) and Cambodia, enjoys working in multiple media and continues to experiment with different techniques in painting, graphic art, Graffiti, photography and silk-screen.
In addition to painting on canvas, Théo VALLIER developed a pictorial style of painting on sheets of rusted metal in order to capture the aesthetic feel of the contemporary urban environment. His work expresses a particular perception of urbanism that reminds the viewer of the impermanence of all things and forms, and pushes the viewer deeper into the image and closer to the raw materials. The artist finds in the city a singular material, rust – created by erosion and the passage of time – and employs it almost as a living material. In his images of Phnom Penh, he creates a unified feel by using common materials, colors and characteristics. He creates a feeling of depth in this works of art by layering different materials. The first layer is the support structure, the sheet of metal with its inevitable oxidation. White is added in successive layers to mask the rust, that in turn attacks the paint, and then is once again covered by more paint, and so on…. For Théo, “a representation in art of the interaction between man and nature.”
Plasticien Français, né en 1980, a exposé en France (Paris et Marseille) et au Cambodge. Il vit et travaille à Phnom Penh depuis 2007, où il continue à explorer le thème de la rue et de ses mouvements. Artiste multidisciplinaire il ne cesse de faire des allers retours entre différentes techniques tel que la peinture, le graphisme, le Graffiti, la photo et la sérigraphie.
A côté de la peinture sur toile, Théo VALLIER développe une approche picturale sur plaques de métal rouillées, pour retrouver une matière et un esthétisme présents à l’état naturel dans l’univers urbain contemporain. Son travail exprime une perception particulière de l’urbanité et veut rappeler l’impermanence de toute chose et de toute forme, pousser le spectateur à plonger dans l’image et à se rapprocher de la matière.
Le plasticien trouve dans la ville une matière singulière, la rouille, produit de l’usure et du passage du temps. Il se l’approprie avec l’idée de la travailler comme un matériau vivant. A partir de ses clichés de Phnom Penh, il revisite une vision singulière de la ville en reliant une matière, une couleur et un trait. Les images sont constituées de différents plans qui, une fois superposés, créent la profondeur. Le premier est le support lui même, c’est a dire le métal, sa matière, son oxydation. Le blanc, par couches successives, masque en partie la rouille qui, le temps faisant son œuvre, attaque la peinture, qui elle-même, couvre à nouveau la rouille, ainsi de suite… Interaction entre homme et nature via la matière.
Informations relative à l’œuvre donnée pour la vente Christie’s :
« International » Acrylic sur métal, 50cm/100cm
Paris
Web Site : www.valliertheo.com
[nggallery id=13]